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En quelques mots les points forts de sa conférence...
Une brève présentation : de Pau à Bidache en passant par 10 années au Brésil il a vécu différents apostolats. Maintenant de retour en France, il nous explique qu'il faut se former à l'écoute de l'évangile, à l'écoute des églises et à l'écoute du monde d'aujourd'hui.
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Puis il nous donne deux exemples récents de "la joie de l'évangile" au quotidien : D'une part cette semaine, l'enterrement d'une personne isolée qui a cependant rassemblé beaucoup de monde.
D'autre part à l'occasion de la dernière journée de la paix à la Zup de Bayonne, deux jours auparavant, un rassemblement riche et multiculturel : visite de la synagogue et de la mosquée et des prises de parole dans une grande église pleine. À noter la qualité des intervenants et leur engagement dans une foi commune alors que leur credo est différent.
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Quelques phrases fortes de la lettre de François qu'il a commenté: Ne nous laissons pas voler notre joie d'être apôtre pour les pauvres. L'acédie ambiante (manque d'envie, fatigue à tendance dépressive spirituelle) est contraire à cette joie. Non au pessimisme stérile ! Mais ne soyons pas des optimistes naïfs. Notre foi est appelée à voir que l'eau peut être transformée en vin et que le blé peut être séparé de l'ivraie. Je préfère une Église accidentée pour être sortie des chemins qu'une Église malade qui s'accroche à ses propres sécurités. |
La joie dans le rugby peut se décliner en 4 mots : J comme jeunesse pour avoir la forme sur le terrain O comme ouverture pour faire des belles passes I comme intimité sous la mêlée E comme espoir d'amener le ballon derrière la ligne. Mais la joie de l'évangile n'est pas celle là : Il nous faut sortir pour le comprendre !
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Le père Jo a servi l'Église au Brésil à San Pablo pendant 10 ans dans une paroisse allant de belles maisons à des favelas. Il nous raconte une belle histoire d'un petit chiffonnier qu'il a rencontré, un jour, le genou écorché et qui se poursuit 20 ans après, par un club de jeunes chiffoniers bien organisé. Il est inutile de vouloir évangéliser si on ne regarde pas d'abord le terreau culturel.
"Vivre est une chance" disait Don Helder Camara qu'il a eu la chance de rencontrer au Brésil.
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La messe à la crypte avec la communauté des moines de Belloc |
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Les prêtres de notre doyenné Adour-Bidouze
(les 2 paroisses Saint Pierre de Nive Adour et Notre Dame du chemin)
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