Il y a des moments où tout garder à l'intérieur peut nous consumer lentement. Jésus nous enseigne à ne pas avoir peur du cri, pourvu qu'il soit sincère, humble, orienté vers le Père. Un cri n'est jamais inutile s'il naît de l'amour. Et il n'est jamais ignoré s'il est confié à Dieu. C'est un moyen de continuer à croire qu'un autre monde est possible
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Nous confions à l'intercession des saints et de la Vierge Marie notre prière incessante pour la paix, en particulier en Terre Sainte et en Ukraine, ainsi que dans toutes les autres terres ensanglantées par la guerre. Je répète aux gouvernants : écoutez la voix de votre conscience ! Les victoires apparentes obtenues par les armes, semant la mort et la destruction, sont en réalité des défaites et n'apportent jamais la paix et la sécurité ! Dieu ne veut pas la guerre, il veut la paix, et il soutient ceux qui s'engagent à sortir de la spirale de la haine et à suivre la voie du dialogue.
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Ils arrivèrent à Thessalonique, où les Juifs avaient une synagogue. Suivant son habitude, Paul entra chez eux. Pendant trois sabbats, il discuta avec eux à partir des Écritures, dont il ouvrait le sens pour établir que le Christ devait souffrir et ressusciter d’entre les morts ; il ajoutait : « Le Christ, c’est ce Jésus que moi, je vous annonce. » Quelques-uns d’entre eux se laissèrent convaincre et s’attachèrent à Paul et à Silas, avec une grande multitude de Grecs qui adoraient Dieu et avec un bon nombre de femmes de notables. Mais les Juifs, pris de jalousie, ramassèrent sur la place publique quelques vauriens ; ayant provoqué des attroupements, ils semaient le trouble dans la ville. Ils marchèrent jusqu’à la maison de Jason, à la recherche de Paul et de Silas, pour les faire comparaître devant le peuple. |
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Le jour du sabbat, nous avons franchi la porte de la ville de Philippes pour rejoindre le bord de la rivière, où nous pensions trouver un lieu de prière. Nous nous sommes assis, et nous avons parlé aux femmes qui s’étaient réunies. L’une d’elles nommée Lydie, une négociante en étoffes de pourpre qui adorait le Dieu unique, écoutait. Le Seigneur lui ouvrit l’esprit pour la rendre attentive à ce que disait Paul. Quand elle fut baptisée, elle et tous les gens de sa maison, elle nous adressa cette invitation : « Si vous avez reconnu ma foi au Seigneur, venez donc dans ma maison pour y demeurer. » |
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Et maintenant, je vous confie à Dieu et à la parole de sa grâce, lui qui a le pouvoir de construire l’édifice et de donner à chacun l’héritage en compagnie de tous ceux qui ont été sanctifiés. Je n’ai convoité ni l’argent ni l’or ni le vêtement de personne. Vous le savez bien vous-mêmes : les mains que voici ont pourvu à mes besoins et à ceux de mes compagnons. En toutes choses, je vous ai montré qu’en se donnant ainsi de la peine, il faut secourir les faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, car lui-même a dit : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. » Quand Paul eut ainsi parlé, il s’agenouilla et pria avec eux tous. Tous se mirent à pleurer abondamment ; ils se jetaient au cou de Paul et l’embrassaient ; ce qui les affligeait le plus, c’est la parole qu’il avait dite : « Vous ne verrez plus mon visage ». Puis on l’accompagna jusqu’au bateau. |
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Des monastères, haut perchés sur d'énormes rochers, hébergent encore des communautés orthodoxes. |
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PAUL, appelé par la volonté de Dieu pour être apôtre du Christ Jésus, et Sosthène notre frère, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés dans le Christ Jésus et sont appelés à être saints avec tous ceux qui, en tout lieu, invoquent le nom de notre Seigneur Jésus Christ, leur Seigneur et le nôtre. À vous, la grâce et la paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ. |
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Pendant que Paul attendait Silas et Timothée à Athènes, il avait l’esprit exaspéré en observant la ville livrée aux idoles. Il discutait donc à la synagogue avec les Juifs et ceux qui adorent Dieu, ainsi qu’avec ceux qu’il rencontrait chaque jour sur l’Agora. Il y avait même des philosophes épicuriens et stoïciens qui venaient s’entretenir avec lui. Certains disaient : « Que peut-il bien vouloir dire, ce radoteur ? » Et d’autres : « On dirait un prêcheur de divinités étrangères. » Ils disaient cela parce que Paul se faisait le messager de « Jésus » et de « Résurrection ». |